Quand on a l'habitude de travailler chez soi ou chez des clients qui, par chance, ont leurs locaux ? moins d'un quart d'heure de bagnole, on oublie rapidement l'enfer du m?tro ou encore celui du bus... Mais depuis une semaine, chaque matin est une nouvelle aventure dans l'environnement hostile des transports parisiens... Chaque soir est une nouvelle ?preuve, une lutte sans merci pour un bout de strapontin, un coin de porte auquel s'adosser... Et je HAIS les transports en commun...